La directrice générale remporte le Prix interculturel de Montréal Abe-Limonchik

En avril 2018, Mme Malika Habel, directrice générale du Collège de Maisonneuve, recevait le Prix interculturel de Montréal Abe-Limonchik, dans la catégorie individu, qui visait à récompenser une personne s’étant engagée dans l’évolution des relations interculturelles et dans la promotion de la diversité.

Grâce au leadership et à l'engagement de Mme Habel, le Collège de Maisonneuve est devenu un modèle d'inclusion pour les autres établissements d'enseignement postsecondaire au Québec.

Mme Habel est à l’origine de plusieurs actions visant à promouvoir la diversité et l’avancement des relations interculturelles. Elle a notamment mis sur pied le Carrefour de l’interculturel, de l’international et des relations avec la collectivité (CLIIC). De plus, elle a réalisé un plan de formation et de sensibilisation en lien avec la prévention de la radicalisation pour son personnel et a proposé au gouvernement du Québec un projet de recherche-action visant à mieux comprendre le phénomène de la radicalisation chez les jeunes issus de l’immigration. Elle a également élaboré et mené un projet-pilote sur le vivre-ensemble sur les trois campus du Collège, proposant des mesures d’appui à la diversité ethnoculturelle dans le but de servir d’exemple aux autres maisons d’enseignement.

« Mme Habel s’implique dans les activités de la Chambre de commerce de l’Est et dans les comités de travail de façon notable en contribuant entre autres à conscientiser les directeurs de petites et moyennes entreprises à la nécessité de travailler à l’intégration professionnelle des immigrants », indique Christine Fréchette, présidente-directrice générale de la Chambre de commerce de l’Est de Montréal.

« Elle travaille fort pour éliminer les obstacles qui créent des inégalités, comme la discrimination et le harcèlement. Elle a mis en place des politiques, de la formation pour le personnel et des pratiques novatrices qui favorisent l’équité et l’inclusion de même que la réussite des étudiants en classe, en milieu de travail et dans la société », ajoute Denise Amyot, présidente-directrice générale de Collèges et instituts Canada.

Récipiendaire